Un programme Commodore 64 sur un vinyle livré avec une disquette

Aujourd’hui, encore un disque vinyle avec des données, mais cette fois c’est un programme pour Commodore 64 et pas ZX Spectrum (ça change). Et le vinyle arrivait aussi avec une disquette 3,5 pouces (pour PC, pas pour Commodore).

Au lieu de vous mettre tous les articles précédents à chaque fois, je vous renvoie vers la page dédiée, elle explique ce que je fais avec les vinyles et liste toutes les pages qui contiennent les programmes, les explications, etc.

 

Discipline, d’Endorphins, est donc un disque vinyle livré avec une disquette (et dans certaines versions avec un CD de 8 cm, fait maison). Il date de 2004 et contient un programme pour Commodore 64 (la disquette contient un programme pour PC).

Le disque et la disquette


La pochette


Elle indique qu’il y a un programme Commodore 64

On va commencer par la disquette. C’est une disquette 3,5 pouces classique (1,44 Mo), qui contient un programme pour PC, disciple-pc.exe. Et c’est juste un programme Flash qui essaye de se connecter à Internet pour afficher des trucs. Comme le programme (et le disque) date de 2004 et que le site n’est plus en ligne, ben ça ne fonctionne pas. Voila.

Maintenant, le vinyle. Il contient une piste qui est un programme Commodore 64, C64lprom. L’enregistrement a été assez simple, le vinyle est récent et n’avait probablement jamais été écouté. Sous Windows, j’ai utilisé les mêmes programmes que pour un autre disque contenant des données pour Commodore 64. J’ai donc converti le WAV en TAP, puis le TAP en PRG. Contrairement au premier programme, j’ai simplement choisi le loader Default 64. Le programme est assez court (une trentaine de secondes, donc au maximum ~1 ko de données, par défaut, c’est visiblement du 300 bauds).

Les réglages

Comme j’avais une erreur avec mon émulateur Commodore 64 (VirtualC64) j’ai converti le PRG pour obtenir le code BASIC (sans soucis) et le code m’a semblé correct. Et avec Denise, ça a fonctionné. Je n’ai pas mis de vidéos pour ce programme, pour une bonne raison : il n’y a que deux écrans.

Première image


Seconde image